EXTRATERRESTRES OU DEMONS ?
Avant le 20e siècle, aucun texte ancien ne mentionne des extraterrestres. De la Mésopotamie à l’Europe médiévale.
les récits parlent de démons, anges ou entités surnaturelles. Les Annunaki sumériens, divinités "venues du ciel", les Nephilim bibliques, issus des "fils de Dieu" dans la Genèse, ou encore les djinns arabes et les nagas indiens, serpents divins, dominent ces écrits.
Ces êtres, souvent décrits avec des traits reptiliens – écailles, yeux perçants – ou hybrides, apportent savoir ou tentation, comme dans le Livre d’Hénoch où des anges déchus enseignent métallurgie et astrologie. Au Moyen Âge, les grimoires comme la Clavicula Salomonis évoquent des démons invoqués pour leur puissance, toujours dans un cadre spirituel, jamais technologique.
Leur origine reste céleste ou infernale, jamais interplanétaire.
Avec le 20e siècle, tout change. La science-fiction, initiée par La Guerre des mondes de H.G. Wells en 1898, et les observations d’OVNIs, comme Roswell en 1947, introduisent les extraterrestres.
Les "gris", popularisés par le récit d’enlèvement de Betty et Barney Hill en 1961, se distinguent par leur petite taille, leur peau grise et leurs grands yeux noirs, mais surtout par leurs têtes disproportionnées évoquant celles de fœtus. Quand on sait que les satanistes sacrifient des enfants innocents dans leurs rituels, cette ressemblance troublante soulève des questions sur un lien possible entre ces entités et Les pratiques macabres est un clin d’œil d'une perversité monstrueuse .
Les "reptiliens", amplifiés par David Icke dans les années 1990, incarnent quant à eux une élite secrète reptiloïde. Ces entités, venues d’autres planètes, oscillent entre menace et bienveillance, et des rumeurs leur attribuent des technologies avancées – fibres optiques, microprocesseurs – partagées avec les gouvernements, notamment via des accords post-Roswell.
Cette bascule n’est pas lié au hasard : elle révèle une réhabilitation des démons, orchestrée par un État profond ancré dans le satanisme.
Historiquement, le satanisme médiéval, codifié par des textes comme le Malleus Maleficarum en 1486, vénère Satan et ses démons – Lucifer, Belzébuth, Moloch – comme sources de pouvoir via des pactes.
Modernisé par Anton LaVey avec l’Église de Satan en 1966, il conserve cette fascination, parfois symbolique, parfois littérale. le liant à ces pratiques de rituels secrets.
Les démons, avec leurs traits reptiliens (serpent de la Genèse) ou monstrueux, partagent des similitudes frappantes avec les extraterrestres : ils viennent d’un "au-delà" (enfer ou espace), offrent connaissance ou domination, et manipulent l’humanité.
Les nazis, fascinés par les savoirs anciens, ont envoyé des expéditions en Inde dans les années 1930 pour récupérer des technologies décrites dans les textes védiques, notamment celles des vimanas, ces machines volantes mythiques mentionnées dans le Mahabharata et le Ramayana. Ils ont même fait venir un brahmane en Allemagne pour traduire ces écrits, cherchant à percer les secrets d’une science perdue.
Parmi ces technologies, ils s’intéressaient particulièrement à des méthodes d’invisibilité basées sur les vibrations, proches de ce que l’on appelle aujourd’hui la science cymatique. Le Mahabharata décrit des vimanas capables de disparaître ou de se camoufler en manipulant les forces éthérées et les rayons solaires, une capacité que les nazis auraient pu vouloir exploiter.
Ces techniques, mêlant vibrations sonores et énergies subtiles, auraient également permis de créer des illusions ou de contrôler les perceptions humaines. En attribuant ces avancées à de pseudo-extraterrestres, ils auraient pu manipuler les populations, masquant l’origine terrestre et spirituelle de ces connaissances pour asseoir leur pouvoir.
Le cinéma et la télévision, véritables machines de guerre de l’État profond, jouent un rôle central dans cette stratégie. Hollywood et les chaînes télévisées imposent les extraterrestres comme une version politiquement correcte des démons, faisant avaler au public une image édulcorée de ces entités.
Des œuvres comme Rencontres du troisième type (1977) dépeignent les gris comme des visiteurs énigmatiques, presque salvateurs.
V (1983) présente des reptiliens infiltrés, sophistiqués malgré leur menace.
E.T. (1982) pousse plus loin en montrant un extraterrestre attachant, loin de la damnation démoniaque.
Même des films comme Stargate (1994) ou Prometheus (2012) suggèrent que les extraterrestres sont nos créateurs, inversant le rôle des démons tentateurs en guides bienveillants.
L’État profond satanique utilise ces récits pour réhabiliter les démons, masquant leur nature maléfique sous une façade technologique. Les références subtiles – serpents, yeux perçants – maintiennent un lien inconscient avec leur passé occulte.
Ainsi, les reptiliens et les gris ne sont que des démons réinventés, leur "vrai visage" dissimulé par cette stratégie.
Un acteur clé de cette manipulation est Zecharia Sitchin, franc-maçon et ami des familles Bush et Rockefeller, qui a largement contribué à populariser le mythe des extraterrestres Anunnaki. Sitchin a menti en prétendant avoir étudié les langues anciennes, alors qu’il affirmait avoir traduit des textes sumériens.
Les vrais linguistes, experts en cunéiforme, l’ont qualifié d’imposteur. Par exemple, Roger W. Wescott, professeur d’anthropologie et de linguistique à l’université Drew, a critiqué dès 1979 l’amateurisme de Sitchin dans The Twelfth Planet, soulignant que le sumérien est une langue isolée, sans lien avec d’autres langues anciennes, contrairement aux affirmations de Sitchin qui prétendait que toutes les langues, y compris le chinois ancien, en dérivaient.
Michael S. Heiser, spécialiste américain des textes bibliques, a également démontré de nombreuses erreurs dans les traductions de Sitchin, invitant le public à vérifier avec des sources comme le Sumerian Lexicon de 2006.
Anton Parks, auteur et traducteur de sumérien, a lui aussi dénoncé les libertés prises par Sitchin, notamment l’invention de la planète Nibiru, introuvable dans les archives mésopotamiennes. Sitchin a inventé une histoire selon laquelle Enki et Ninhursag, deux divinités anunnaki, auraient hybridé les humains pour le compte de Nibiru, une planète imaginaire qui n’existe pas. Selon lui, les Anunnaki auraient modifié génétiquement les humains pour extraire l’or de la Terre afin de restaurer l’atmosphère de Nibiru, leur planète mourante, en leur donnant juste assez d’intelligence pour travailler dans les mines d’or, les réduisant à des esclaves. Cette fable, dénuée de fondement historique, sert un agenda plus large : elle reflète le but final des mondialistes, qui cherchent à asservir l’humanité sous un nouvel ordre mondial, un esclavage moderne déguisé.
Ce mensonge s’inscrit dans une stratégie plus vaste des satanistes pour brouiller la véritable nature de la Terre, qui est plane, et non sphérique comme on nous le fait croire. Même dans les récits sumériens authentiques, les Anunnaki décrivent la Terre comme une surface plane, entourée d’un dôme céleste.
Par exemple, l’Enuma Elish, le poème babylonien de la création datant d’environ 1200 av. J.-C., décrit la Terre comme un disque plat flottant sur l’océan primordial, avec le ciel comme une voûte solide au-dessus. Le chercheur Samuel Noah Kramer, dans son ouvrage Sumerian Mythology (1944), confirme que les Sumériens voyaient la Terre comme une étendue plane, divisée en quatre régions, sans jamais mentionner une sphère.
De même, Stephanie Dalley, dans Myths from Mesopotamia (1989), traduit des textes sumériens où la cosmologie est clairement plate, avec des "eaux d’en haut" et des "eaux d’en bas" séparées par une surface terrestre plane. Ces descriptions, cohérentes avec d’autres cultures anciennes comme les Hébreux ou les Égyptiens, contredisent les récits modernes d’une Terre sphérique, imposés pour soutenir les mensonges de Sitchin et des mondialistes.
En accumulant ces récits fabriqués, ces élites occultes ont orchestré un reset du passé, effaçant les véritables origines de l’humanité. Les récits sumériens authentiques parlent de divinités spirituelles, pas d’extraterrestres, et les tablettes d’argile ne mentionnent ni Nibiru ni une exploitation minière par des humains hybrides. En détournant ces textes, Sitchin et ses complices ont semé la confusion, empêchant les humains de comprendre d’où ils viennent réellement. Ce tissu de mensonges, soutenu par Hollywood, la télévision et des pseudo-érudits, vise à maintenir l’humanité dans l’ignorance, sous le joug d’un pouvoir sataniste qui manipule les esprits pour mieux les contrôler.
Ainsi, les reptiliens et les gris ne sont que des démons réinventés, leur "vrai visage" dissimulé par cette stratégie. Les archives historiques confirment l’absence d’extraterrestres avant le 20e siècle et la prédominance des démons, tandis que la culture moderne, pilotée par Hollywood et la télévision, normalise ces entités sous un jour nouveau. Ce n’est pas une coïncidence, mais une manipulation délibérée pour détourner leur origine et leur influence, ancrée dans un agenda secret liant satanisme et pouvoir global.
Mélodie Rg.
Date de dernière mise à jour : 08/04/2025
Ajouter un commentaire