LA NASA UNE CREATION SATANIQUE ?
Jack Parsons, né en 1914, est l’une des figures clés de la création de la NASA. Il a joué un rôle essentiel dans le développement du Jet Propulsion Laboratory (JPL). Pionnier des carburants solides, il a conçu des moteurs-fusées, utilisés aussi bien dans les missiles que dans les fusées.
Mais avant tout, c'était un sataniste, membre et disciple d’Aleister Crowley. Il dirigeait la loge Agapé en Californie. Aleister Crowley, célèbre magicien noir et chef de l’Ordre des Templiers d’Orient (OTO), surnommé « l’homme le plus méchant du monde », s’était autoproclamé la Bête 666. Héroïnomane, il se droguait et pratiquait des orgies sexuelles lors de ses rituels. Il est mort en 1947. Sa religion, qu’il appelait Thelema, reposait sur sa philosophie directrice :
« Fais ce que tu veux. »
De ce fait, la magie et la science des fusées, appuyés sur l’imagination, répondaient au rêve de Parsons d’échapper à la Terre, à la fois, spirituellement et physiquement.
Jack Parsons nourrissait une ambition occulte visant à renverser l’ordre divin.
En 1946, avec L. Ron Hubbard, futur fondateur de la Scientologie, il s’engage dans le rituel "Babalon Working", invoquant des démons par la magie sexuelle et en versant le sang. Leur but :
faire naître Babalon, une déesse thélemite de passion et de destruction, à travers l'enfant de la lune, une entité spirituelle destinée à incarner cette force sur Terre et à ouvrir une ère de chaos divin.
Babalon, également connue sous le nom de la Femme Écarlate dans la cosmologie thélemite, est une figure centrale de la mythologie de Crowley. Représentant la puissance féminine sacrée, elle incarne à la fois la création et la destruction, la liberté sexuelle et la rébellion contre les structures morales traditionnelles.
Dans l’imaginaire de Parsons, Babalon n’était pas une simple déesse abstraite, mais une force vivante, une entité à invoquer pour briser les chaînes de la chrétienté et instaurer un Nouvel Ordre Mondial.
Cette Femme Écarlate, est devenue un symbole récurrent à Hollywood.
Cela vous fait comprendre les raisons pour lesquelles, cette figure est omniprésente dans les films et la musique
Des personnages féminins puissants, à la fois séduisants et destructeurs, ou des icônes musicales exaltant la révolte et la sensualité, font écho à cet archétype, infiltrant l’imaginaire collectif à travers les productions hollywoodiennes et les industries culturelles, comme une ombre projetée par les rituels de Parsons et Crowley.
Puis, en 1949, Parsons franchit un cap, se proclamant Anti-Christ, déterminé à briser la chrétienté par des pratiques sataniques. Il veut imposer la volonté humaine au mépris de la Création divine.
Ces expériences ne sont pas restées des initiatives isolées. Elles ont croisé le chemin d’autres figures influentes, comme Wernher von Braun et Walt Disney, dont les rôles dans le projet spatial américain ont renforcé les fondations vraiment troubles de la NASA.
Parsons était lié à von Braun, cet ancien ingénieur nazi et franc-maçon recruté par les États-Unis via l’opération Paperclip.
Von Braun, qui a développé les fusées V-2 pour l’Allemagne nazie, a rejoint la NASA en 1960 et l’a reconnu comme le "véritable père du programme spatial américain".
Dans les années 1950, il a collaboré aussi avec Walt Disney pour produire trois films éducatifs sur l’espace — Man in Space, Man and the Moon, et Mars and Beyond — renforçant le lien entre les figures influentes de la NASA et Hollywood.
Disney n'était pas non plus en reste avec l'occulte. Membre de De Molay International, une organisation de jeunesse maçonnique, il a utilisé son influence pour détourner l'âme des enfants à travers des images subliminales de pornographie et de cannibalisme, dans ses productions, promouvant ainsi l'agenda satanique.
Son personnage Pluto, créé en 1930, est directement lié à la planète Pluton, associée à des thèmes démoniaques, Pluton étant l’équivalent romain de Hadès, dieu des Enfers. Plus tard, le CGI a discrètement dessiné, mais de manière reconnaissable, le chien Pluto sur cette pseudo-planète, rendant hommage à Disney.
Derrière ce plan se trouvaient les Rockefeller, qui ont financé et soutenu la création de la NASA pour promouvoir des projets pseudo-scientifiques et manipuler les perceptions de l’espace.
Concernant les Rothschild, leur influence dissimulée dans l’ombre des médias et des institutions, a propagé l’illusion d’un globe terrestre, ancrée dans les manuels scolaires et les jouets d’enfants. En collaborant avec la NASA, ils ont renforcé ce récit à travers l’éducation et les médias, tandis que l’agence, soutenue par leurs financements, fabriquait des images pour légitimer cette vision. La manipulation de masse s’est intensifiée grâce aux productions hollywoodiennes et aux séries diffusées sur le petit écran.
Au-delà des alliances entre science, cinéma et pouvoir financier, Parsons, von Braun et Disney ont, dès la création de la NASA, tissé une trame occulte. Cette entreprise visait à effacer la vision chrétienne du monde et à substituer l'œuvre de Dieu par une illusion cosmique façonnée par l'homme. Toute voix dissidente, susceptible de contrarier ce projet de désintégration de l’œuvre Divine, serait systématiquement disqualifiée.
La NASA promeut une vision d’un univers héliocentrique infini, peuplé de planètes et d’étoiles inaccessibles, effaçant ainsi l’idée d’une Terre conçue comme un lieu unique et sacré, telle que décrite dans les traditions religieuses et les récits des anciennes civilisations. En remplaçant le firmament biblique – ce dôme solide séparant les eaux d’en haut et d’en bas – par un vide spatial sans limites, elle relègue la Terre au rang d’un simple point perdu dans l’immensité. Cette perspective plonge l’humanité dans un univers dépourvu de repères transcendants, où les concepts spirituels sont remplacés par une approche strictement matérielle.
En instillant cette perception, ces élites sataniques, réduisent l’homme à un être marginal perdu dans un cosmos immense, appelé "terrien", qui devient symboliquement "t'es rien" en langue des oiseaux, privé de tout sens et de toute connexion à sa nature Divine.
Les images CGI de la Terre, des fausses planètes et des étoiles suspendues dans un cosmos imaginaire, ne sont que des outils pour hypnotiser les masses, les éloignant de la vérité d’un monde conçu par un dessein divin.
Hollywood, avec Disney à sa tête, amplifiera cette entreprise en glorifiant l’espace comme un nouveau paradis païen, tandis que les Rockefeller financeront cette machine infernale pour manipuler les consciences.
Et cette manipulation ne commence pas à l’âge adulte — elle s’infiltre dès l’enfance, comme une marée montante qui noie les esprits avant même qu’ils ne puissent questionner.
L'’image d’un globe terrestre s’impose partout : sur les bureaux d’école, dans les manuels, ou sous forme de jouets comme des puzzles de planètes et des maquettes de fusées. Les logos d’émissions éducatives et les génériques hollywoodiens, y compris les dessins animés, enfoncent cette vision d’une Terre tournant dans un vide étoilé.
Ce lavage de cerveau incessant, répété à l’infini, étouffe toute chance de voir la vérité, enchaînant les âmes à une fable dès le berceau.
Ainsi, le projet satanique de la NASA ne se limite pas à explorer l’espace : il s’agit d’une guerre spirituelle, visant à détruire la chrétienté en son essence, en reprogrammant l’humanité dès ses premiers pas.
Ils nous tiennent dans leurs filets, et pourtant, ces marionnettistes se gaussent de nous, étalant la vérité avec une arrogance glaçante.
Le logo de l’ONU ? Une Terre plane, déployée comme un défi, trônant dans leur sanctuaire de New York. L’OMS, l’UNESCO, le FMI : tous exhibent cette carte plane, un pied de nez à leur propre fable du globe.
Dans leurs loges maçonniques, l’élite sait que la Terre est fixe, comme l’enseigne la Genèse. Même leurs textes cachés vomissent le mensonge héliocentrique qu’ils nous font gober. Ils placent cette vérité en pleine lumière, nous narguant de la saisir, comme des loups jouant avec des agneaux qu’ils savent déjà condamnés, et rient de nous voir nous entre déchirer entre le globe et la planète.
Face à une telle entreprise, une question cruciale surgit naturellement : comment placer sa confiance en des hommes dont les actes et les croyances trahissent une hostilité ouverte envers la vérité divine ?
Comment accorder sa foi à des individus comme Wernher von Braun, Jack Parsons, entre autres, adeptes de rituels de magie sexuelle et de sang, ou encore Walt Disney, pédophile, cannibale et dont les créations cachaient des images subliminales de pornographie.
Leurs propres livres, leurs rituels internes le confessent : le globe n’est qu’un jouet pour les profanes, une illusion pour les moutons qu’ils méprisent.
Von Braun portait le poids des milliers de morts causés par ses armes sous le régime nazi, une tache que les États-Unis ont choisi d’ignorer pour exploiter ses compétences. Parsons invoquait des démons pour défier Dieu, mêlant science et sorcellerie dans une quête de pouvoir spirituel. Disney, avec ses films et son personnage Pluto lié aux enfers païens, transformait l’imaginaire des enfants en un outil de subversion, main dans la main avec von Braun.
Leurs passés, leurs alliances, leurs pratiques hurlent une mise en garde : ils ne cherchent pas à élever l’homme, mais à le précipiter dans l’abîme. Confier sa foi à ces hommes, c’est comme tendre la main à un serpent dont on connaît le venin. La NASA, bâtie sur ces racines troubles, ne serait alors qu’une tour de Babel moderne, érigée pour remplacer la création divine par une chimère satanique, où la vérité est étouffée par le mensonge — une vérité qu’ils nous narguent pourtant d’embrasser, si seulement nous osions ouvrir les yeux.
Mélodie Rg
24.04.2025
Disneyland 1955 - Man in Space - Wernher von Braun
Date de dernière mise à jour : 25/04/2025
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